Onzain (41) - Circuit d'Onzain

Mon avis sur la randonnée :
Circuit d'Onzain est un circuit de randonnée situé sur la commune de Onzain en Loir-et-Cher (41). Ce parcours d’environ 0 kilomètres représente en moyenne 1h30 de marche.



À emporter dans votre sac à dos
Carte IGN rando
Réf. : 2022O

Découvrez le patrimoine à proximité du sentier de randonnée Circuit d'Onzain à Onzain (41)

Il existe 30 lieux remarquables à proximité de cette randonnée. Ces lieux peuvent être accessibles et visibles depuis le sentier ou bien être présents dans un rayon de 30km autour du tracé ou du point de départ.
Terroir Département / Région administrative
Centre
Terroir Département / Offices de tourisme
Agence de Développement Touristique du Loir-et-Cher - Coeur Val de Loire
Office de Tourisme de Blois - Chambord - Cheverny - Chaumont-sur-Loire
Office de Tourisme d'Amboise Val de Loire
Office de tourisme de Montrichard
Office de Tourisme du Castelrenaudais
Office de tourisme de Bléré - Chenonceaux, val de Cher
Terroir Sites naturels / Réserves naturelles
Géologique de Pontlevoy
Cette réserve est  aménagée pour les scolaires et les étudiants : front de taille dans les faluns du Blésois, dalle de calcaire de Beauce, fosse dans les sables et marnes du Blésois, panneaux informatifs et présentation de fossiles. Voir le site
Réserve archéologique de la Vallée aux Fleurs
Ce village néolithique de la Vallée aux Fleurs a été découvert par Jackie DESPRIEE, directeur régional des antiquités préhistoriques lors des travaux de l’autoroute A 10. L’habitat constitué de plusieurs cabanes en bois et roseaux protégées par une palissade est contemporain d’un premier défrichement de la forêt par les agriculteurs – éleveurs qui vivaient (4000 ans av.JC.) de cultures et d’élevage.
Propriété du C.D.P.N.E. depuis 1974, ce site d’intérêt préhistorique présente aussi un intérêt floristique (pelouse) Accès libre aux visiteurs.
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Vallées de la Grand-Pierre et Vitain
La réserve naturelle des vallées de la Grand-Pierre et de Vitain se situe à une dizaine de kilomètres au nord de Blois. C’est un territoire de 275 hectares en petite Beauce, à la confluence de deux vallées : la vallée sèche de la Grand-Pierre et la vallée de la Cisse, petite rivière de plaine. Le socle de la réserve est le calcaire dur et fissuré recouvert de limons éoliens d’épaisseur variable. Voir le site
Terroir Sites naturels / Massifs forestiers
Forêt domaniale de Blois
Forêt de Montrichard
Forêt d'Amboise
Forêt de Choussy
Bois de Cheverny
Terroir Sites naturels / Grottes
Site troglodytique de Bourré
Terroir Patrimoine bâti / Châteaux
Château de Chaumont-sur-Loire
Au Xe siècle, Eudes Ier, comte de Blois, fait construire une forteresse pour protéger la ville de Blois contre les attaques des comtes d'Anjou. Le chevalier normand Gelduin reçoit Chaumont et consolide la forteresse. Sa petite-nièce, Denise de Fougères ou de Pontlevoy, ayant épousé en 1039 Sulpice Ier d'Amboise, le château passe dans la famille d'Amboise pour cinq siècles. Louis XI ordonne en 1465 de brûler et de raser Chaumont pour punir Pierre d'Amboise de s'être révolté contre le pouvoir royal lors de la « Ligue du Bien public ». Rentrée en grâce, la famille d'Amboise est autorisée à reconstruire le château. C'est son fils Charles Ier d'Amboise qui l'entreprend de 1469 à 1481 en édifiant notamment l'aile nord, faisant face à la Loire, aujourd'hui disparue. La porte d'entrée précédée d'un double pont-levis est enserrée par deux grosses tours rondes, massives, dotées de mâchicoulis et de chemins de ronde. Contrairement à l'usage, le donjon central est abandonné au profit de la tour ouest, dite tour d'Amboise, destinée à planter l'étendard du seigneur des lieux…
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Château de Fougères-sur-Bièvre
Sa première construction date du XIe siècle. Il fut détruit en 1356 au début de la guerre de 100 ans par Edouard III d'Angleterre, prince de Galles, dit le Prince Noir. Seul restait le donjon. Le roi ayant donné son autorisation en 1470 le château fut reconstruit par Pierre de Refuge, alors trésorier de Louis XI. Les travaux ont été terminés par son gendre. René Lambot acquiert le château en 1789 et ses descendants le transforme en 1814 en filature qui fonctionna jusqu'en 1890. Cette demeure seigneuriale de la fin de l'époque gothique a été très peu remaniée. Elle était entourée d'eau, et un chemin de ronde, couvert et à mâchicoulis, couronne les murailles de la façade nord, la façade principale qui s'appuie au donjon rectangulaire, seul élément restant du premier château et à une grosse tour ronde. La courtine d'entrée est une imposante porte fortifiée prise entre deux tours rondes…
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Château de Beauregard
Le château est bâti en bordure de la forêt de Russy. Les ruines d'une chapelle, antérieure au XVe siècle, sont encore visibles dans le parc. Elle montre, gravée dans la pierre, la coquille des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle et la devise des chevaliers croisés « Dieu le Volt ». Le manoir d'origine fut construit à la fin du XVe siècle par la famille Doulcet. Jean Doulcet, maître de la Chambre des Deniers du duc Charles d'Orléans. En 1495, Louis d'Orléans (futur Louis XII), érigea la terre de Beauregard en seigneurie, on autorisa par édit l'édification d'un pigeonnier
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Château du Clos Lucé
Château Royal d'Amboise
Château du Gué-Péan
La présence d'une voie romaine non loin du château, qui coupait le ruisseau par un gué, donna le premier nom à ce lieu-dit : le gué payant, qui devient par la suite, le Gué-Péan. C'est au XVe siècle que la famille Alaman achète la seigneurie et fait construire le château. La seigneurie est érigée en châtellenie par François Alaman, vassal du seigneur de Saint Aignan. C'est son petit-fils qui termine la construction du château. En octobre 1676, Charlotte Alaman vend le Gué-Péan et ses dépendances à François de la Motte-Villebret comte d'Aspremont…
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La Pagode de Chanteloup
Château de Chenonceau
Château de Cheverny
Les bâtiments furent terminés en 1634… Ce fut alors à Cheverny le temps des fêtes fastueuses : la Grande Mademoiselle, fille de Gaston d'Orléans, amie intime de la marquise, aimait à se rendre, depuis Blois ou Chambord, dans ce qu'elle nommait un « palais enchanté »… Durant les cent cinquante années suivantes, il changea maintes fois de propriétaires et passe entre les mains de Jean-Nicolas Dufort de Cheverny (introducteur des ambassadeurs) en 1764, et on y entreprit de grands travaux de rénovation en 1765. Propriété de Jean-Nicolas Dufort de Cheverny pendant la Révolution française, le château est épargné… En 1922, le marquis de Vibraye, propriétaire des lieux, ouvrit le château au public. La famille y habite toujours et le château de Cheverny est devenu l'un des châteaux de la Loire les plus visités, renommé pour ses intérieurs riches et sa collection d'objets d'art et de tapisseries. Le château reçoit la visite d'Elizabeth Bowes-Lyon, reine-mère d'Angleterre en 1963
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Château de Troussay
A 3km du château de Cheverny, Troussay le plus petit des châteaux de la Loire, toujours habité est une mosaïque de précieux éléments de décor ancien intérieurs et extérieurs, alliée à un joli mobilier XVI, XVII XVIII siècles. Les pittoresques dépendances solognotes évoquent la closerie de Raboliot, le célèbre braconnier. Le parc à l’anglaise baigné de sérénité propose au promeneurs en 2011 une animation contemporain. Le poulailler modèle présente un ensemble de gallinacées originales et amusantes…
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Château de Menars
En 1760 Ménars est acquis par Mme de Pompadour, qui charge l'architecte Ange-Jacques Gabriel de construire deux nouvelles ailes de part et d'autre des deux pavillons, pour remplacer celles édifiées au XVIIe siècle. Pour briser l'uniformité de la façade, Gabriel couvre ces deux ailes de toits plats « à l'italienne ». De chaque côté de la cour d'honneur, il bâtit en outre deux pavillons : le pavillon de l'Horloge à droite, qui renferme les cuisines, reliées au château par un souterrain, et le pavillon du Méridien à gauche, où se trouve la conciergerie. Il dirige également d'importants travaux d'aménagement intérieur…
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Terroir Patrimoine bâti / Abbayes
Abbaye de la Guiche
Vestiges de l'abbaye de la Guiche fondée en 1273 par Jean de Châtillon, qui abrita des Clarisses jusqu'à la Révolution. Les comtes de Blois, qui l'avaient placée sous leur protection, en firent le lieu de leur sépulture. Une galerie du cloître et un bâtiment de l'ancien monastère, datant de la fin du XIIIe siècle, ont été conservés au coeur d'un parc de 4 ha. Il reste également deux gisants et une petite chapelle.
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Abbaye de Pontlevoy
Fondée 1034 par Gueldouin, compagnon d’études, comte de Blois, l’abbaye est soumise à la règle de saint Benoît. Les moines y accueillent les malades. Ils y éduquent aussi des enfants. Ruinée au cours de la guerre de Cent Ans, l’abbaye connaît un renouveau en 1644 et les moines ouvrent à nouveau le collège. Au XVIIIe siècle, Pontlevoy est rapidement considérée comme l’une des meilleures écoles préparatoires à l’école militaire. La Révolution supprime l’école militaire mais laisse le collège sous la direction d’un bénédictin sécularisé2. occupé pendant la seconde guerre mondiale par les allemands. Rachetée en 2001, elle y accueille "The European American Center for International Education" dont le but est de promouvoir et de développer l'échange culturel et artistique entre l’Europe est les États-Unis...
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Terroir Patrimoine bâti / Sites archéologiques
Ruines gallo-romaines des Maselles
Les bâtiments des Maselles, à la sortie de Thésée, en direction de Tours, portent les caractéristiques principales des techniques de construction gallo-romaine du IIe siècle après J.C. Ces bâtiments sont exceptionnels pour de multiples raisons et en particulier pour l’élévation des murs à plus de 7 mètres de hauteur, pour les dimensions de la grande salle Nord (40 m × 15 m) et pour leur état de conservation remarquable. Leur fonction a longtemps été obscure, on pense aujourd'hui qu'il s'agissait d'une mansio, un relais routier bien équipé, lieu d'étape éventuel pour la nuit situé tous les trente kilomètres environ. Les Maselles auraient été une station d'étape établie en bordure de la voie Tours-Bourges...
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Il existe d'autres sentiers de randonnée à Onzain (41) pour découvrir le terroir
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